Claudine Meyer vient des Hautes-Alpes ; elle avait exposé à la Rotonde
il y a plusieurs années de grandes femmes tissées de fer qui sont restées dans les mémoires.
Ses bronzes actuels sont des lignes vivantes, ombres de métal qui peuvent évoquer les figurines
trouvées dans les nuraghi de Sardaigne, simples et fortes.
Une ligne de bronze dressée, immobile, qui devient corps et l’espace autour d’elle se met à vivre ; dans le travail de Claudine Meyer, l’humain est toujours présent : son métier d’infirmière lui a légué un regard bienveillant sur la fragilité des corps, leur présence vivante et émouvante. C’est en Colombie qu’elle s’est formée aux arts plastiques, notamment avec des sculpteurs. Elle vit et travaille dans un village des Hautes-Alpes. On retrouvera ses grandes femmes tressées de fer (un tout autre travail, mais le corps toujours) à la Rotonde en septembre.
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