Catherine Gillet
En 2015 elle nous avait offert une belle exposition de ses burins ; s’y joignent cette année des dessins au graphite et pierre noire. C’est le mouvement ascendant des noirs qui s’échappent, on ressent, fugace, un courant d’air ; Catherine est fascinée par le vivant, le temps qui passe et transforme les corps. C’est la gravure de l’impermanence, de l’insaisissable, de la sensation.
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